Forbes : "Sous forme de guide très didactique sur les moyens de prendre confiance, d’agir et de déculpabiliser, le livre « Libre de prendre le pouvoir sur ma carrière » accompagne les femmes dans toutes les étapes de leur carrière."
Voxe : "Comment faire un profil LinkedIn qui dépote, comment ne pas faire tapisserie à un évènement corpo, comment reprendre la parole après qu'on nous l'ait coupée en réunion, comment ne pas être la gentille de service, peut on être une vraie cheffe sans avoir peur d'être catégorisée comme une garce...? On s'est déjà posées quelques unes de ces questions, mais s'il y en a une qui est allée au bout de la réflexion, c'est Lucile Quillet, qui les abat une par une dans son bouquin."
Les Éclaireuses : "Une véritable bible des femmes ambitieuses, un manuscrit précieux que vous ne laisserez pas prendre la poussière sur votre étagère. Dans les pages de son livre, Lucile apporte des conseils et solutions concrètes pour aider les femmes à se dépasser, et à oublier les freins hérités de l'éducation genrée que l'on a toute reçues.
Business O Féminin : "Ce guide pratique vous aide à révéler votre plein potentiel et à façonner votre parcours selon vos seules ambitions. Explorant chaque étape et situation de votre vie professionnelle, ce livre vous donne des réponses concrètes en s’appuyant sur des témoignages, avis d’expertes, méthodes et exercices pour reprendre, enfin, le pouvoir sur votre carrière."
Emile Magazine
"On caricature très rapidement les femmes qui accèdent à une forme de pouvoir : elles sont autoritaires, hystériques, écrasantes… C’est dire si une femme à responsabilités reste encore une figure transgressive et peu tolérée.
Je conseille aux femmes de ne surtout pas chercher à plaire ou attendre que les autres daignent reconnaître leur autorité (...) Chercher à être appréciée est un piège qui ne vous apportera rien mais vous fera perdre votre temps et votre efficacité."
Forbes France
"Plus on monte dans la hiérarchie, plus les femmes sont minoritaires. Elles regardent autour d’elles et ne voient personne qui leur ressemble. Il est alors très facile de se dire qu’il y a eu erreur, qu’on n’a pas le calibrage nécessaire, que l’on doit son poste à un malentendu (...)
Le syndrome de l’imposteur est très lié à cette forme de perfectionnisme très féminine qui veut qu’il faut « être 100% compétente pour avoir un poste », tout maîtriser dès le départ, sans quoi, on serait dans le mensonge. Les femmes veulent être trop vertueuses."